Les équipes 2017
| Les Pieds-beaux |
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Les Pieds-Beaux c’est vraiment du costaud… On parle de muscles, mais surtout de stratégie et de jeu d’équipe qui mènera l’équipe jusqu’en finale. Leurs victoires sont confortables (toujours minimum 2 buts d’écart), le jeu est fluide, le parcours est sans faute : un bel exemple de joueurs qui savent jouer au ballon. Les Pieds-Beaux ne sont pas passés loin du titre, mais qui sait, ce n’est que partie remise ?
| L’union |
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L’Union est un conglomérat de joueur de classe internationale. Une attaque de feu, un milieu de terrain talentueux, un gardien expérimenté (gants d’or 2016). L’Union n’avait cependant pas le statut de favori mais a franchement impressionné la galerie pendant le tournoi. C’est simple : leur seule défaite affichée est celle contre les finalistes. Ils finissent troisième de la compétition.
| Voetbal Club Terrier |
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Avec son expérience ancrée de l’Interkot, le Voetbal Club Terrier – présent depuis la première édition – arrive une fois de plus confiant avant l’entame. Gaël Renard déclarera ainsi « Il y a une concurrence saine au sein de la sélection et ça me réjouit beaucoup. Nous sommes prêts mentalement, et conscients qu’on progresse sans arrêt » . Perfectionniste, concentré sur le travail, cet homme à l’élégance discrète a inspiré la confiance et le respect à ses joueurs. Ce ne sera cependant pas suffisant pour s’extirper des poules, contrairement aux éditions précédentes (2015 et 2016).
| Les Starbekois |
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Les Starbekois disputent leur 3ème édition (d’abord Dream Team du Ghetto, et ensuite Gangstersquat) et entame le tournoi toujours avec la même fougue de la jeunesse. Avec son expérience des compétitions internationales, elle est attendue comme l’une des équipes capable de jouer les trouble-fêtes. Les Starbekois n’arrivent pourtant pas à briller, l’équipe reste cependant difficile à manoeuvrer car très défensive. Une occasion de faire le point sur son attaque et revenir en 2018 ?
| VBK |
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Composée essentiellement de joueurs évoluant localement, le VBK s’est qualifié pour la première fois à l’Interkot et espère pouvoir y faire quelque chose. Ils finissent pas décrocher une victoire, ce qui reste méritant vu le niveau du groupe relevé. Leur force est certainement leur cohésion de groupe. Une équipe qu’il faudra surveiller de près…
| Confédération helvétique |
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Si elle n’a jamais réussi à dépasser le stade des poules dans la compétition, cette équipe expérimentée (connue sous le nom de La petite Suisse, Ram Suisse II et Oude Swiss) peut s’appuyer sur des performances physiques individuelles pour réussir l’exploit. Sur papier, l’équipe présente un effectif de qualité. Cependant, il faudra manifestement encore attendre avant que les anciens helvètes puisse tirer leur épingle du jeu…
| FC Chatons de Cobourg |
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Un parcours impeccable. Aucune équipe n’aura pu vaincre les Chatons de Cobourg qui marque les mémoires par son aisance de jeu et ses victoires plus que confortables (dont un 8-1 contre Verhaeren). L’équipe est bâtie sur un esprit collectif sans faille, les phases de jeu répétées à l’entrainement sont parfaitement exécutées. Avec l’aide d’un soulier d’or qui aura marqué le concours (Mathias Baijot), les Chatons décrochent ainsi leur premier titre d’Interkot. La légende est en marche !
| Mailtingpot |
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Pour sa deuxième participation, le Mailtinpot n’est pas venue pour faire de la figuration. Et la formation a raison de croire en elle ! Forte de 4 victoires en phases de poule, ils ont toujours été là où on ne les attendait pas. Elle assure ainsi une belle 4ème place. Ce collectif au point pourrait emmener l’équipe loin dans les futures éditions, et se hisser au côté des grandes sélections…
| FC Cordée |
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Equipe redoutée, la sélection savait qu’elle devait évoluer à son meilleur niveau pour avoir une chance de gravir les marches vers le podium. Le FC Cordée est capable de belles choses quand on voit son tableau de chasse de l’édition 2016, et on ne pouvait franchement pas lui donner tort avant la compétition. Pourtant, les latéraux n’apportent pas le poids offensif qu’ils devraient, et l’équipe ne parvient pas à obtenir son ticket pour le dernier cadran.
| Glory Owls |
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Avec une présence physique et une caution technique non négligeable, le jeu des Glory Owls pèse sur leurs adversaires. Même si l’objectif n’est pas annoncé, l’empâtement dans la phase des poules sera vécue comme un échec. Et vu le collectif de ces joueurs venant principalement du monde de l’Ultimate Frisbee, on se dit que c’est largement possible. Toutefois, les hommes ne se sont pas montrés assez imaginatifs sur le terrain et l’équipe se retrouve logiquement au milieu de tableau.
| La retraite |
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En difficulté pour se qualifier, la Retraite a tout de même des cartes à jouer. Difficile de savoir ce que vaut l’équipe en début de tournoi. Sous la pression, la sélection rate son entrée en piste, déraille, et accumule les défaites les unes après les autres. L’honneur est toutefois sauve, ce qui démontre un certain aspect psychologique quand même développé. Si l’équipe veut continuer à évoluer à l’Interkot, elle devra néanmoins faire preuve de plus de sang-froid et bâtir une défense plus rigoureuse.
| Verhaeren |
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Champion 2013, champion 2015 et troisième de l’édition 2016, Verhaeren affiche 1 seule défaite en 3 éditions (contre les champions 2016), soit une invincibilité de 16 matchs sur 17 ! De quoi tomber de sa chaise…Ce pilier de l’Interkot fait clairement figure de proue lors de son entrée en piste. A coeur de réaliser des belles performances, la sélection est toutefois fort différente (et plus féminine). Et puis, c’est la consternation, l’impensable se produit et l’équipe se fait battre à plate couture par chacun de ses adversaires et termine lanterne rouge de son groupe sans une victoire. Un goût amer à travers la gorge, une légende qui s’écroule…Incompréhensible.
